Toréador, ce vocable que certains traitent d’opérette, servit aussi à distinguer les toreros français de leurs homologues espagnols. La presse de l’époque l’utilisait comme synonyme de : espada, diestro, torero, matador, créant un véritable néologisme (1).
Brésillon Boudin, dit « Pouly II », fut souvent nommé premier toréador de France. C’est en 1883, que Hélias Eugène, dit « le boucher » (sic), l’utilise dans les arènes du Champs de Mars à Paris.