Abanto de salida, ce quatrième toro de la tarde ne permit guère au madrilène d’user de son capote, à peine put-il dessiner une véronique et une demie. Le Garcigrande mit les reins lors de la première rencontre, l’intensité baissant sur les deux suivantes, le dernier puyazo étant orchestré du centre.
Faena identique en qualité à la première, puissante et autoritaire, parvenant à allonger par moments la charge de l’animal sur la corne gauche. Le bicho réduisant très vite la voilure, final par un toreo dans un petit périmètre avant le traditionnel « julipié » n’empêchant pas l’octroi d’un pavillon, un de plus mais qui ne marquera pas l’histoire.