Le second exemplaire de La Véronique, au physique plus avantageux, demandait les papiers. Le cornu, plus difficile, prit d’emblée le terrain du jeune piéton qui recula un peu au capote avant de se reprendre muleta en mains, jouant une partie de gagne-terrain avec l’animal, partie qui au final s’équilibra. Une bonne expérience pour Solal, car la difficulté apprend les réglages nécessaires à la lidia.