En conclusion de cette partie taurine, Marc a combattu un toro sérieux et d’armure ouverte. Ce bicho brindé au ciel pour Philippe Cuillé, puis à Do Cuillé, et enfin pour nous tous, fut intéressant surtout sur la corne droite car la gauche, abîmée dans le toril, gênait le toro.
Après des véroniques efficaces, le Cuillé prit une bonne pique de la main de Jean-Loup Allier.
Les doblones initiaux réglèrent la charge du toro et les séries droitières, liées à de longs pechos, furent de grande qualité. Marc conclut sa faena par quatre naturelles pieds joints, sans perdre le moindre pouce de terrain. Le matador nîmois s’engage ensuite à fond pour laisser ¾ d’estocade en pleine croix, une lame qui roula rapidement le cornu.
Marc pouvait saluer sous une grande ovation. Il nous a offert trois grands et différents moments de toreo.