Après une réhydratation et un aïoli partagé sous la « laupio » (1), après le futur de l’école, c’est le présent qui fut en piste : Fabien Castellani, très affûté, physiquement et techniquement, s’est accordé avec un bon novillo qu’il banderilla également. Deux oreilles et vuelta al ruedo pour le novillo et avec l’éleveur.
Pour « Miguelin », volontaire, l’équation fut plus complexe. La lidia fut partagée avec Lucas Spagna, présent toute la journée.
Bétail très intéressant pour les aficionados et les toreros, le ganadero a joué le jeu !