Marcel Pagnol est un grand ami de mon père, de la famille. Une grande et belle correspondance épistolaire entre les deux hommes en témoigne.
A chacun de nos périples en Italie, en Corse,…, nous cherchons des plumes Sergent-Major à rapporter à l’écrivain. Qui n’utilise pour son art, exclusivement que des plumes.
Bien des années plus tard, alors étudiante à Paris, je me souviens déjeuner chaque dimanche chez Marcel Pagnol. Et chaque dimanche entendre «Assis-toi petite, je vais te raconter une histoire». Avec son chat, couché sur la pile de livres posée sur le bureau, j’écoute cet orateur fabuleux des heures durant. Fascinée.