Face à « Atajante« , porteur du fer de Garcigrande, l’extremeño a sorti le grand jeu, des capotazos d’ouverture aux muletazos de conclusion face à une machine à embestir qui obtint sa grâce par sa grande noblesse et son entrega, … mais qui ne prit qu’un puyazo.
Et je reste de ceux qui considèrent qu’on ne peut juger la bravoure réelle qu’à partir de la seconde pique, donc vous comprendrez qu’il s’agit une nouvelle fois (à mon avis et ça n’engage que moi) d’un indulto « moderne » basé sur la coopération de l’animal.