Vendredi 10 janvier. Luis Bolivar le plus en vue.
Les toros de Juan Bernardo Caicedo, faibles et de peu de race (tous sifflés à l’arrastre à l’exception du 2°), n’ont pas permis aux toreros du jour de s’exprimer, seul Luis Bolivar parvenant à la force du poignet à couper les deux oreilles du seul toro potable de la course.
Enrique Ponce et Pablo Aguado repartent les mains vides.
(Photo : Rodrigo Urrego B)
Manizales. Vendredi 10 janvier. Feria del Café.
Toros deJuan Bernardo Caicedo.
- Enrique Ponce : salut aux deux.
- Luis Bolivar : deux oreilles et salut.
- Pablo Agado : silence et salut.
Samedi 11 janvier. Encerrona a minima pour El Juli
El Juli avait choisi de s’enfermer seul avec six toros pour le final de la Feria del Café.
Face à six toros d’Ernesto Gutierrez nobles mais de présentation des plus contestables, le madrilène fait son show et sort a hombros avec trois oreilles en poche.
Mais que valent ces trophées et quel respect pout-on avoir pour un torero qui choisit des adversaires de si piètre niveau et préparés de façon si scandaleuse ?
Comment un ganadero peut-il accepter que l’on mutile ainsi son bétail ?
N’ont-ils pas honte ?
NdR : depuis quelques années Julian triche, à la mort surtout, choisit de se mesurer aux mêmes ganaderias (Garcigrande principalement) et affronte des toros diminués.
Et ça se dit figura del toreo !!!
Personnellement je ne peux cautionner cela et je me renierais si je le passais sous silence !
Manizales. Samedi 11 janvier. Feria del Café.
Toros d’Ernesto Gutierrez.
- El Juli : silence, silence, silence, oreille, deux oreilles et silence.